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elder flowers
Cornouaille

Les sureaux, arbustes et plantes herbacées du genre Sambucus, appartenaient à la famille des Caprifoliacées. Les travaux récents en systématique situent maintenant ce genre dans les Adoxacées. Le sureau est une plante nitrophile, sa présence indique donc un sol riche en azote.Les sureaux ligneux sont des arbustes à fleurs blanches ou de couleur crème qui se transforment ensuite en petits bouquets de baies rouges, bleues ou noires. Ces baies sont très appréciées des oiseaux.

Différentes espèces

Il existe en Europe trois espèces de sureaux :

 Sambucus nigra, le sureau noir, aux baies noires, est l'espèce la plus répandue en Europe ;

Sambucus racemosa subsp. racemosa, sous espèce européenne et asiatique de Sambucus racemosa, appelé aussi sureau rouge ou sureau à grappes aux baies rouges non comestibles ;

Sambucus ebulus, le sureau hièble, est la troisième espèce dans les parties les plus froides de l'Europe de l'ouest. C'est un sureau herbacé rhizomateux dont les baies noires sont toxiques.

En Amérique du Nord, on trouve :

 

Sambucus canadensis, le sureau du Canada aux baies bleues, à l'est ;

Sambucus glauca, le sureau glauque aussi avec des baies bleues, à l'ouest ;

* Sambucus racemosa subsp. pubens (= Sambucus callicarpa), sous-espèce nord-américaine de Sambucus racemosa, aux baies rouges se trouvent dans les parties les plus froides de l'Amérique du Nord.

Sambucus mexicana

Utilisation

Dans l'alimentation

Aussi bien les fruits que les fleurs peuvent être transformées en vin de sureau qui est une boisson traditionnelle dans les pays nordiques, en sirop[1] (sirop de sureau), en limonade (limonade au sureau)ou en kéfir de sureau. La consommation des baies crues n'est pas conseillée, car elles sont légèrement toxiques et peuvent provoquer des vomissements surtout quand elles sont immatures. La toxicité est détruite lors de la cuisson. La sambuca est notamment produite à partir du sureau.[réf. nécessaire

En jardinage

Le Purin de sureau (1Kg de feuilles dans 10l d'eau mis à fermenter quelques jours à de nombreuses vertus qui en font un grand allié du jardinier :

Répulsif contre les pucerons, chenilles et mammifères (comme les taupes par exemple)

Antifongique grâce à la sanbucine[2] qu'il contient.

Le sureau noir est parmi les arbres les plus "visités" par la faune. Son feuillage dense et les nombreuses fourches qu’offrent ses branches en font un lieu de choix pour les oiseaux nicheurs. Les abeilles sauvages et autres guêpes profitent aisément de ses rameaux creux. Les fleurs attirent, en outre, quantité de butineurs : abeilles, papillons… et les baies font le régal des fauvettes des jardins, des merles noirs, des grives, des rouges-gorges, des passereaux…

Les feuilles de sureau accélèrent la décomposition du compost.

A ne surtout pas confondre !

Les baies du sureau noir sont utilisables pour réaliser des coulis ou des gelées, seules ou associées à la mûre ou à la prune.

Le sureau noir est un arbuste de 2 à 5 m de haut. Les baies comestibles du sureau noir se présentent sous la forme de parapluies suspendus. Leur goût s'apparente à la mûre ou au raisin.

Le sureau hièble est une herbacée de 1m de haut qui disparait en hiver. Les baies toxiques du sureau hièble sont situées au sommet des bouquets de feuilles, en forme de parapluie inversé.

Pour les non connaisseurs, s'abstenir.

Pour les vertus thérapeutiques

Propriétés : élimination urinaire, facilite la digestion. En tant que complément alimentaire, le sureau permettrait la réduction des effets de la grippe, selon une thèse de doctorat déposée par la virologue franco-israélienne Madeleine Mumcuoglu.

En clinique: il adoucit la gorge et calme l'irritation bucco-pharyngée.

En pays neuchâtelois (Suisse romande), les grands aînés disent que le sirop de baies noires de sureau est bon contre la toux.

Pour l'écriture

Les baies produisent de l'encre dont la couleur varie du bleu au violet selon les recettes.

Pour faire de l'encre, il faut broyer les baies dans l'eau puis les laisser macérer pendant une journée afin que les fruits dégorgent.

Pendant la macération, adjoindre deux sachets de thé. Le thé est riche en tanin et ce dernier fixe très bien les couleurs.

Filtrer la décoction et la faire réduire en la faisant bouillir. Ajouter de l'alun réduit en poudre et de la gomme arabique finement broyée.

Mélanger et recommencer à faire réduire pour que le liquide soit très concentré.

Source wikipedia

Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8482x4241
Taken: 11/06/2009
Uploaded: 14/07/2009
Published: 14/07/2009
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Tags: france; bretagne; finistere; cornouaille; benodet; clohars fouesnant; domaine de kereven; sureau; plantes; plantes medicale
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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